- EAN13
- 9782707347152
- Éditeur
- Les Éditions de Minuit
- Date de publication
- 07/10/2021
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Aucun lecteur sensé ne peut croire en la solution invraisemblable proposée à
la fin du célèbre roman policier Ils étaient dix. En donnant la parole au
véritable assassin, ce livre explique ce qui s’est réellement passé et
pourquoi Agatha Christie s’est trompée. Ce livre est paru en 2019 sous le
titre La Vérité sur Dix petits nègres. « Avec son talent habituel, Pierre
Bayard mêle la précision d’une enquête policière, le sérieux d’une étude
littéraire, la finesse du psy et une bonne dose d’humour pince-sans-rire pour
bousculer nos certitudes et nous rallier à sa thèse. Outre une étude poussée
des cas de meurtres en chambre ou en espace clos (le roman se passe sur une
île), l’écrivain justicier nous renvoie à notre aveuglement collectif (fait
d’illusions d’optique et de biais cognitifs) pour expliquer comment la police
et le lecteur se sont fait berner. Le fantôme d’Agatha Christie, s’il est
fair-play, sera magnanime : le crime de lèse-majesté de Pierre Bayard
s’apparente à du grand art. » (Philippe Chevilley, Les Échos)
la fin du célèbre roman policier Ils étaient dix. En donnant la parole au
véritable assassin, ce livre explique ce qui s’est réellement passé et
pourquoi Agatha Christie s’est trompée. Ce livre est paru en 2019 sous le
titre La Vérité sur Dix petits nègres. « Avec son talent habituel, Pierre
Bayard mêle la précision d’une enquête policière, le sérieux d’une étude
littéraire, la finesse du psy et une bonne dose d’humour pince-sans-rire pour
bousculer nos certitudes et nous rallier à sa thèse. Outre une étude poussée
des cas de meurtres en chambre ou en espace clos (le roman se passe sur une
île), l’écrivain justicier nous renvoie à notre aveuglement collectif (fait
d’illusions d’optique et de biais cognitifs) pour expliquer comment la police
et le lecteur se sont fait berner. Le fantôme d’Agatha Christie, s’il est
fair-play, sera magnanime : le crime de lèse-majesté de Pierre Bayard
s’apparente à du grand art. » (Philippe Chevilley, Les Échos)
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